Un besson (ou une bessonne) est un jumeau (ou une jumelle). Ça a également donné le verbe bessonner, accoucher de deux jumeaux. Ici c’est plutôt un vieux mot français qui est encore utilisé dans le parler lyonnais alors qu’il est oublié ailleurs.
Et des jumeaux j’en ai dans ma généalogie : 19 paires pour être précise. Ils sont nés entre 1688 et 2008. Mais seulement l’une d’eux est mon ancêtre, Sophie Marie, née en 1840.
Par contre, des personnes dont le nom de famille est Besson, j’en ai tout un cuchon (autre mot lyonnais qui veut dire beaucoup) soit exactement 285. Parmi eux, 6 jumeaux, 2 de plus issus d’un Besson.
Ce qui finit par nous faire beaucoup de bessons, tout confondu !
Belle façon de parler de la généalogie que d’impliquer ce que nous utilisons tous les jours, le langage.
Merci ! Mais il faut rendre au blogueur ce qui lui appartient… j’ai été inspiré par le blog ils étaient une fois 😉