Dans la vie, j’ai besoin de logique. Tout ce qui est logique, sensé, organisé, me rassure. Et ça tombe bien parce que la généalogie c’est logique (enfin la plupart du temps). Il y a des statistiques qui nous aident comme « la plupart se marient dans le village de l’épouse et vont s’établir ensuite dans celui de l’époux ». C’est un exemple et évidemment certains sortent des clous. Mais ce genre de logique et d’habitudes permettent d’automatiser les recherches et font des autres cas des exceptions plus faciles à appréhender. Rien ne vaut (pour moi) une bonne routine pour pouvoir accepter les changements. Pour faire de la généalogie je procède donc avec logique et organisation. Le souci, c’est que je change régulièrement de logique et d’organisation. Ça ne vous est jamais arrivé de classer des fichiers d’une certaine manière parce que vous trouvez ça évident et de ne plus retrouver ces fichiers car vous ne comprenez plus votre propre logique ? Moi, si. Souvent d’ailleurs. Ça complique un peu les choses. Pour ce qui est de l’organisation, je tâtonne. J’espère d’ailleurs que le bujo (bullet journal) de Céline D’Hulster aux éditions Archives et Culture va m’aider à revenir sur le droit chemin.