J’en ai de partout et sous toutes formes : petits papiers, post-it, notes numériques sur mon téléphone, dans le coin d’une feuille, dans un carnet, au fond du placard, etc. Parfois d’ailleurs je trouve des doublons. Heureusement, dans ce cas-là, j’arrive vite à savoir quelle note garder et laquelle jeter, à la manière d’Heredis (logiciel de généalogie). Pourquoi j’en ai autant ? Parce que je suis toujours à l’affut de la moindre information. Après une conversation, je note vite les données que je viens d’avoir, l’air de rien : une date d’anniversaire, un métier, la cause d’un décès, un lieu d’habitation ou toute autre chose. Par exemple, lors d’un enterrement, j’ai appris l’année de mariage du défunt et son métier (il était retraité quand je l’ai connu). Mais cela peut aussi être après avoir parlé avec ma grand-mère : « cet objet était à mon grand-père, il s’en servait quand… » ; vite de quoi noter ! Dans ces moments-là, je suis bien contente de pouvoir prendre des notes sur mon téléphone. Je ne pense pas que ça m’arrive tous les jours, mais presque. Et j’aurais envie de le faire pour tout le monde, même ceux dont je ne fais pas la généalogie. « Ah c’est sa nièce ! Et elle est née en… ». Mais alors là ce n’est pas un seul meuble qu’il me faudrait pour tout ranger, mais toute une pièce. Hum… c’est une idée ! (on me dit dans l’oreillette que ça ne va pas être possible)