Mais en généalogie, comme dans la vie, il y a aussi des bas.
Ça arrive, oui. Un acte qu’on ne trouvera jamais car les archives sont lacunaires, un cousin décédé avant même qu’on ait pu le rencontrer, un ancêtre parti trop tôt, des papiers de famille perdus, des visages sur de vieilles photos qu’on ne pourra jamais identifier, des anecdotes oubliées, etc.
Pour ma part, les pires down sont le fait que j’ai oublié certaines histoires que m’avait raconté ma grand-mère (je vous en ai parlé dans T comme Transmission) et de ne pas avoir rencontré certaines personnes avant qu’il ne soit trop tard. Deux de mes cousins sont décédés cette année, dont un qui était le dernier maillon d’une génération. Bien sûr, il y a les frères et sœurs ou les enfants, mais ce n’est pas pareil. J’ai de la peine en pensant qu’ils sont partis avec des histoires incroyables que personnes ne connait ou dont personne ne se souvient. Parfois, je me dis aussi que j’aurai dû m’y intéresser plus tôt, quand mes grands-parents étaient encore vivants. Mais heureusement, dans la balance, les moments up pèsent toujours plus lourd que les down !
Je viens de lire votre Challenge d’un trait (je n’avais pas eu le temps au jour le jour en novembre). J’aime beaucoup votre style et vos articles. Bravo et bonne continuation!
Merci beaucoup !!! Ça fait chaud au coeur d’être lue et appréciée (ou tout du moins mes articles).
À l’année prochaine 😉