Même si j’ai découvert que je n’étais pas si lyonnaise que ça, j’aime toujours autant la généalogie. Mieux ! La généalogie m’apporte beaucoup et me rend zen.
Quand on fait des recherches, il faut être patient. Manque de pot ce n’est pas ma qualité première. Je dirais même plus, c’est un de mes principaux défauts. Et bien quand je m’adonne à ma passion, je ne suis plus la même. Je suis zen, calme, patiente. Et plus c’est long et fastidieux plus j’aime ça.
La généalogie a toujours eu cet effet sur moi, depuis le début. En même temps, comment s’énerver quand on peut pratiquer sa passion ?! Je suis tellement contente de faire des recherches, de trouver, de découvrir, de faire des hypothèses, de réfléchir, d’apprendre, etc., que j’en oublie tout. Sérotonine, endorphine, dopamine, ocytocine, noradrénaline, toutes ces petites hormones du bonheur fourmillent en moi quand je suis dans mon élément.
Mais parfois, quand on doit « affronter » le monde réel dans le cadre de nos recherches, pas toujours facile de rester zen. Les personnes qui rayent les registres d’état-civil au stylo bille, ceux qui cornent les pages et ceux qui en arrachent ! Mais on reprend vite ses esprits et on regarde ailleurs.
Il n’y a donc que du bonheur dans la généalogie. Malgré les histoires de vie très tristes que je peux parfois trouver, la généalogie me rend « zen, soyons zen » …