La joie de faire des recherches et la joie de … trier des papiers et des documents numériques !
Et quand je dis « kilos », je parle de :
- kiloGRAMMES de papier car au début on imprime, on imprime et on imprime encore. Oui parce qu’au début on n’a rien, tout est à faire. Donc dès qu’on trouve quelque chose, on en veut une trace.
- kiloMÈTRES d’archives ; non peut-être pas autant sachant que les Archives départementales du Rhône en ont 44 km par exemple. Mais quelques mètres tout de même.
- Et puis notre pratique évolue et nous voilà avec des tonnes de kiloOCTETS de fichiers numériques à classer et à ranger.
Si on ne s’organise pas tout de suite, on peut vite crouler sous les documents en tout genre et finir par ne plus rien trouver.
Quand j’ai commencé mes recherches, j’imprimais tous les actes que je trouvais, parfois même des photos quand elles comportaient des informations généalogiques. Je remplissais également des fiches individuelles et des fiches de couple. Il a donc fallu que j’achète plusieurs classeurs pour ranger toutes ces fiches et tous ces actes.
Mais j’ai aussi imprimé beaucoup d’arbres trouvés sur Geneanet pour pouvoir travailler à partir de ceux-ci (car je préfère vérifier les informations trouvées ainsi). Et enfin je suis quelqu’un qui travaille plus facilement sur papier que sur ordinateur, en tout cas quand je suis dans la phase de réflexion.
Imaginez donc la quantité de documents que j’ai ! J’ai un placard entier dédié à cette discipline.
Depuis 12 ans ma pratique à certes évoluer mais il me reste toujours tous ces papiers et tous ses documents amassés depuis tant d’années qu’il me faut trier, classer et ranger. J’envisage de m’aider de la petite formation que propose la Revue française de Généalogie (RFG) mais il va surtout falloir que je m’y mette, tout simplement !
Ça va faire des kilos de papier à recycler tout ça !